Dans le dernier numéro du BBF, Olivier Le Deuff fait le point sur la folksonomie. Il aborde dans cet article les conditions d'apparition, le principe de fonctionnement et les débats en cours autour de la folksonomie.
Dans le dernier numéro du BBF, Olivier Le Deuff fait le point sur la folksonomie. Il aborde dans cet article les conditions d'apparition, le principe de fonctionnement et les débats en cours autour de la folksonomie.
Il fait vraiment trop chaud pour bloguer, mais je vais faire un effort ce soir pour honorer une promesse que j'ai faite dans la journée. En guise de billet, je vous propose une petite astuce pour gérer en XSLT 1.0 les espaces de noms (namespaces) par défaut. J'ai mis deux bonnes heures avant de trouver la solution, cela évitera à d'autres de perdre autant de temps et d'après l'expérience de la journée, d'autres connaissent le même problème.
Non, ce blog ne se repose pas comme certain de ma connaissance, je ne trouve juste pas le temps de bloguer (ni l'énergie, j'avoue), préparant une communication pour le colloque Digital Humanities qui aura lieu à Paris du 5 au 9 juillet. Pourtant, ce n'est pas faute d'avoir des sujets entre la suite de mon dossier sur l'édition à l'ère du numérique et la fin de mes aventures au pays de la conservation du document numérique.
Pour vous faire passer le temps en attendant ce jour béni où je pourrai à nouveau reprendre ce blog, je vous propose la lecture d'une communication (et le diaporama) que j'ai faite à la dernière réunion du groupe PIN (Préservation pour l'information numérique). Il y est évidemment question de la problématique de la conservation du document numérique et de l'utilisation du modèle OAIS dans le contexte de l'édition électronique. J'y présente l'état de la réflexion et d'avancement des outils mis en place dans le cadre du centre de ressources numériques TELMA porté par l'IRHT et l'École des chartes.
Bonne lecture !!
Il fallait s'y attendre, les éditeurs français n'allaient certainement pas laisser Google mettre en ligne leurs productions sans réagir. La seule question qui pouvait subsister était de savoir quel groupe allait lancer l'offensive en premier. Ironie du sort, le grand gagnant est l'éditeur au logo représentant un loup, l'avaleur du Seuil, j'ai nommé la Martinière. Toute le monde en parle évidemment : Libération, France 2 et les autres ;-) Et, voilà une nouvelle pièce à ajouter à mon dossier sur les rapports entre l'édition traditionnelle et le numérique.
Pour replacer très rapidement et de façon caricaturale, cette modeste maison d'édition menée par Hervé de la Martinière a fait fortune grâce à des ouvrages d'art, en particulier les recueils de photographies de son ami, Yann Arthus-Bertrand. Quelques rachats plus tard, Hervé de la Martinière se payait la prestigieuse maison du Seuil et transformait sa modeste maison en holding de l'édition. Tout ça pour dire que cette action juridique ne vient pas de n'importe quel éditeur, la Martinière est un peu « une success story à la Google de l'édition française » si vous me permettez l'expression. Je vous
Depuis quelques semaines, j'accumule les ressources concernant l'avenir de l'édition traditionnelle dans le monde du numérique. L'idée de m'intéresser à ce sujet m'est venue suite à ma visite au salon du livre de cette année et à une discussion avec Piottr.
Pourquoi donc annoncerais-je la sortie d'un nouveau numéro du BBF consacré aux « bibliothèques sur le Web » ?
http://bellelay.enc.sorbonne.fr
Ce billet n'a pas que pour but de faire un peu de pub au dernier né de la collection ELEC, mais plutôt de vous faire découvrir ce qui constitue, à mon avis, une tentative aboutie de monographie hypertextuelle scientifique.
On entend de plus en plus parler de Web services. Flick'R, Amazon, Yahoo mais surtout Google avec Google Maps et Google adwords, tous les sites dans le vent et qui veulent faire Web « machin chose » proposent leurs Web services.
Lorsque j'avais vu passer le billet d'Hubert sur Internet actu intitulé « L'ontologie est surfaite », je m'étais promis de regarder en profondeur voire d'écrire un billet sur cet article de Clay Shirky traduit par Christophe Ducamp. Il était donc resté sélectionné dans mon agrégateur depuis un mois, c'est à dire le temps de trouver un moment pour le lire et y réfléchir.
Avant de passer à l'étape finale de constitution de mon METS et donc de mon SIP, je me suis dit qu'il ne serait pas inutile de s'intéresser à ONIX. Il s'agit d'une grammaire XML mise au point par EdiTEUR, un groupe international d'éditeurs dont la vocation est de coordonner les initiatives et les standards pour le commerce électronique dans le domaine du livre.