Parmi les grammaires XML existantes, il en existe trois qui se détachent pour encoder des textes : Docbook mis au point par Norm Walsh dont le but est d'encoder les manuels techniques, XHTML 2 (eh !
Parmi les grammaires XML existantes, il en existe trois qui se détachent pour encoder des textes : Docbook mis au point par Norm Walsh dont le but est d'encoder les manuels techniques, XHTML 2 (eh !
Lorsqu'on encode un fichier en XML, bien souvent, on ne prend pas le temps, avant de se lancer à proprement parler dans le codage, de réfléchir à une question simple, mais pourtant essentielle : qu'est-ce-qu'on veut encoder ? Cette question a l'air anodine, mais la réponse peut faire varier de façon très importante la structure du fichier et le choix des balises. Je voudrais essayer de montrer avec ce billet l'impact de cette question dans les stratégies d'encodage.
Il fait vraiment trop chaud pour bloguer, mais je vais faire un effort ce soir pour honorer une promesse que j'ai faite dans la journée. En guise de billet, je vous propose une petite astuce pour gérer en XSLT 1.0 les espaces de noms (namespaces) par défaut. J'ai mis deux bonnes heures avant de trouver la solution, cela évitera à d'autres de perdre autant de temps et d'après l'expérience de la journée, d'autres connaissent le même problème.
Non, il ne s'agit pas de la version finale de la P5, mais la sortie d'une version intermédiaire (0.4.1) que vient d'annoncer Sebastian Rathz. Alors, pourquoi en faire un billet ? Tout simplement, pour prévenir toutes les personnes qui travaillent autour de moi avec la P5 que les changements sont suffisamment importants pour regénérer leurs schémas et mettre à la poubelle les anciens, donc direction Roma...
Parmi les changements, outre la révision du système de classes, je signalerais deux changements.
Le premier me fait d'autant plus plaisir que j'en fais la demande depuis un an auprès du TEI Board. En P5, deux nouveaux attributs ont été ajoutés pour les dates notBefore et notAfter, ils permettent de proposer une fourchette dans le cas de dates approximatives, ce qui est bien connu de nous autres médiévistes. Malheureusement, ils n'étaient pas implémentés sur tous les élements de type date (en particulier <docDate>), c'est maintenant chose faite, ce qui marque le glas des éléments dateStruct and timeStruct (Petit message perso : désolé, Christophe, il faut que tu reprennes toutes tes dates, mais en même temps, tu ne peux pas dire que je ne t'avais pas
C'est pas le tout de partir en vacances, mais il faut faire le ménage dans l'agrégateur à son retour, même si je serais bien resté à la montagne : la neige était excellente, les pistes superbes et le panorama fantastique...:-(
Alors, pour finir le tri, voici une pelote de liens.
Dans la catégorie XML, deux articles comparent XSLT, le langage de transformations de XML et Xquery, le langage de requêtes de XML : « XSTL vs Xquery » et « Comparing XSLT 2.0 et Xquery ». La question des différences entre ces 2 langages risque d'être à la mode avec le passage au statut de recommandation de XSLT 2 et Xquery 1. Et, comme tous ces genres de débat, je sens que cela va tourner à la guerre des religions... (Via XML.com et PuriTAL). Dans la même catégorie, on notera la sortie d'une nouvelle Working Draft sur l'ensemble des éléments pour l'internationalisation (internationalization Tag set). Si j'ai bien compris, ce standard devrait être très important, car il va permettre d'indiquer quelle(s) partie(s) d'un document ou d'un schéma peut(peuvent) être traduite(s). A souligner qu'il s'agit de la première norme du W3C écrite au format ODD (One Document Does it all) mis au
Pour vider un peu mon agrégateur, enlever les étiquettes sur les messages importants arrivés des listes de discussions dans mon thunderbird et compléter le tout avec quelques liens archivés dans mon delicious, je vous propose une petite pelote de liens concernant XML (garantie non exhaustive).
Tout d'abord, la nouvelle version de mes deux outils fétiches pour éditer ou traiter du XML :
Comme promis, je vais partager avec vous ma découverte de PREMIS et mon utilisation de METS.
Dans le cadre de l'édition électronique sur le Web, le support de l'ouvrage n'est pas multiplié par autant d'exemplaires, il n'existe qu'à un seul endroit sur un serveur. Oui, on parle de dématérialisation, mais elle a ses limites et il faut bien qu'à un moment donné, les informations soient stockées quelque part. C'est donc chez l'éditeur que se situe le support unique des informations et c'est donc sur lui que se reporte la responsabilité de garantir l'accès à long terme à ces données.
J'ai enfin terminé d'écrire les différents articles, je n'ai plus de déplacements et donc de communications pour l'instant et les cours et les séminaires sont derrière moi ! Bref, je suis enfin libre pour recommencer à bloguer et ça tombe bien, j'ai plein d'idées en tête. Mais, pour l'instant, j'ai juste envie de me reposer, de prendre le temps, de flâner, de réfléchir tranquillement, avant de vous en faire partager les fruits.
En attendant, vous pouvez utiliser ce temps libre pour jeter un coup d'œil sur les nouveaux ouvrages dans la collection ELEC de l'Ecole nationale des chartes. Ils ont tous les deux une place particulière à mes yeux. Le premier, les chroniques latines de Saint-Denis, est la première édition d'un manuscrit littéraire du Moyen Âge, il va à l'encontre des règles habituelles d'édition de la philologie latine en éditant un manuscrit précis et pour finir c'est la première édition je n'ai pas faite et absolument pas touchée. Nicolas Legrand, Aka Nico (si vous ne connaissez pas Nico, allez faire un tour dans les commentaire du Figoblog ;-) ), a fait un fantastique boulot et je lui renouvelle ici toutes mes félicitations. Évidemment, il
J'ai eu la chance de participer la semaine dernière à un « séminaire international » sur l'édition critique numérique intitulé « Digital philology and medieval texts » qui avait lieu à Arezzo en Toscane. Si ce genre de rencontres ne sert malheureusement pas souvent à grand chose, il n'en était rien pour celle-ci.